Publié le 21. mars 2024

«Who you gonna call?» Die Geschichte des berühmtesten Geisterjäger-Songs

Am 20. März startet «Ghostbusters: Frozen Empire» in den Schweiz Kinos. Wenig später feiert die Titelmusik der Franchise das 40-jährige Jubiläum. Ein kurzer Blick auf einen der besten Theme-Songs aller Zeiten.

Journalist
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Ah, 1984: Haarspray wird exklusiv in Sixpacks verkauft, Neonfarben gelten als subtil und Kokain ist eine legitime Apèro-Substanz. Wie viel von letzterem in die Produktion vom gleichnamigen Titelsong zum Kultfilm «Ghostbusters» eingeflossen ist, wollen wir nicht mutmassen. Gemessen daran, dass eine Zeile des Stücks aber frei übersetzt so viel wie «Ejakulieren gibt mir ein gutes Gefühl» lautet, schätzen wir: Nicht gerade wenig.

«Bustin' makes me feel good» – uns auch.

Der falsche Mann zur richtigen Zeit

Die Produktion von «Ghostbusters» war ein chaotischer Prozess. Das Skript musste mehrfach überarbeitet werden, das Budget reichte nicht aus und Huey Lewis (von Huey Lewis & The News), der eigentlich die Komposition des Theme-Songs übernehmen sollte, hatte plötzlich keine Lust mehr darauf.

TV Sounds: Die überraschende Geschichte hinter dem «Knight Rider»-Titelsong | ZUM ARTIKEL

Columbia Pictures, das Filmstudio hinter «Ghostbusters», klopfte anschliessend beim Fleetwood Mac-Gitarristen Lindsey Buckingham an, doch auch der wollte nicht. Über Umwege gelangte der Auftrag dann schliesslich an Ray Parker Jr. Dieser war zufälligerweise gerade in der Nähe, sagte zu und schuf anschliessend in gerade mal zweieinhalb Tagen einen der grössten Theme-Songs aller Zeiten.

Ray Parker Jr. im «Ghostbusters»-Videoclip (Quelle: Youtube)
Ray Parker Jr. im «Ghostbusters»-Videoclip (Quelle: Youtube)

Parker hatte zunächst Mühe, den Filmtitel in dem Song unterzubringen, wurde dann aber von einer Fernsehwerbung zur ikonischen «Who you gonna call?»-Zeile inspiriert. Auch 40 Jahre später lautet die Antwort auf die Frage immer noch «Ghostbusters».

Eine Oscar-Nomination, ein Nr. 1-Hit und ein Gerichtsfall

«Ghostbusters» wurde zum Blockbuster und spielte rund 300 Millionen an den Kinokassen ein. Von dem Erfolg profitierte auch der Themesong, der wenig später die Top-Position der Billboard-Charts eroberte. Auch dem Oscar-Komitee gefiel Parkers Werk, was in einer Nomination für den besten Song resultierte. Die Statue räumte dann allerdings Stevie Wonder für «I Just Called To Say I Love You» ab.

Gegen Stevie kommen auch Protonen Packs nicht an.

Weniger Freude hatte hingegen Huey Lewis, der Parker und Columbia Pictures vor den Richter zerrte, weil sich der Song seiner Meinung nach zu sehr am Huey Lewis & The News-Lied «I Want A New Drug» orientierte. Eine Meinung, die übrigens von so ziemlich jedem geteilt wird, der Ohren hat.

Der Fall konnte schlussendlich aussergerichtlich geklärt werden. Lewis verriet Jahre später, dass ihm das Studio kurzerhand einfach einen Haufen Kohle rüber schaufelte, womit die Sache für ihn erledigt war.

Das Vermächtnis

2016 kam ein «Ghostbusters»-Reboot in die Kinos. Die Hauptrollen wurden dabei neu von einem weiblichen Cast besetzt, was zu allerlei sexistischem Gejammer von irgendwelchen Incels führte. In dem ganzen Trubel ging unter, dass der Film - unabhängig vom Geschlecht der Hauptdarstellerinnen - ziemlich schrottig war, was auch auf die Neuinterpretation des Titelsongs zutraf. Diese kam von Fall Out Boy und Missy Elliot.

«Ghostbusters: Afterlife» war der zweite Versuch, die Franchise zurückzubringen. Jason Reitman, der Sohn des Regisseurs der beiden Originalfilme, ging dabei kein Risiko ein und lieferte ein nostalgische Verbeugung vor dem Werk seines Vaters. Natürlich mit dem Original-Song.

Für die Fortsetzung, die am 20. März in unseren Kinos startete, steht hingegen die bisher durchgeknallteste Version des Songs an. Diese kommt von der J-Pop-Band Atarashii Gakko! und klingt wie ein 5-facher, mit Speed angereicherter Espresso und damit ziemlich toll.

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NORDSTERN ÜBER PRATTELN

Après trois années extrêmement difficiles pour la musique live, les rois non couronnés du néo-prog mélodique repartent enfin en tournée. Lors de leur visite au Z7, ils ne fêtent pas seulement les 45 ans de Pendragon, mais aussi leur dernière production musicale. Avec le mini-album "North Star", les anciens rockers autour du mastermind Nick Barrett font un retour impressionnant et prouvent que, même après quatre décennies et demie, ils sont toujours garants de perles prog de toute beauté.


Pendragon a été fondé en 1978 par le mastermind Nick Barrett dans le comté anglais du Gloucestershire. Le groupe a connu ses premiers succès lorsqu'en 1982, le manager de l'époque a réservé le groupe émergent Marillion pour une tournée commune. Les deux groupes s'entendent à merveille et d'autres tournées suivent, permettant à Pendragon d'élargir progressivement sa base de fans dans le sillage des survoltés Marillion. En 1983, ils ont finalement joué devant plus de 30 000 spectateurs enthousiastes au légendaire festival de Reading et ont enregistré une session pour la très populaire émission de radio de la BBC, le Tommy Vance's Rock Show. D'autres étapes importantes dans l'histoire du groupe ont été la création de leur propre label Toff Records en 1987 et la sortie de l'album "The Masquerade Ouverture" en 1996, dont plus de 60 000 exemplaires ont été vendus. Au fil des années, Pendragon a consolidé sa position de groupe de rock progressif de premier plan en Grande-Bretagne en publiant des albums de grande qualité. Ils ont régulièrement fait le tour du monde, se rendant jusqu'en Amérique du Sud, aux États-Unis, au Canada et au Japon, et ont joué à guichets fermés. Après une pause forcée due à la pandémie, Pendragon est remonté sur scène en 2023 pour quelques spectacles choisis. Et maintenant, ils repartent enfin en tournée. Ils ont emporté avec eux le mini-album "North Star", sur lequel on peut entendre 25 minutes de musique nouvellement composée. Comme d'habitude chez Pendragon, "North Star" repose sur un concept. "L'étoile du nord a sorti l'humanité de situations difficiles depuis des milliers d'années", explique le maître d'œuvre Nick Barrett, "et notre album est un message positif qui, après les trois dernières années, utilise cela comme un moyen d'aller de l'avant pour tous, sans utiliser l'affligeant mot C". L'étoile du nord brillera de tous ses feux au printemps prochain et indiquera aux musiciens le chemin de Pratteln.

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