Backstage culinaire pour un «festin de stars»

Bienvenue dans un univers où la musique devient une expérience gustative. Oui, pour se marrer, et on vous avertit, nous ne sommes pas un site culinaire, nous avons rassemblé une sélection de goodies comestibles créés par des icônes musicales, et nous allons vous montrer comment les intégrer pour composer un repas digne d’un backstage enfumé à la place d'une de ces ennuyeuses bouffes de fin d'année.

Pour commencer la soirée, apéro oblige, on se débouche quelques bières, et selon nos goûts on va direction Iron Maiden avec leur désormais célèbre ligne de binches qui s’est même déjà vue récompensée pour son excellence.

Avec ça on grignotera quelques Fritos McGraw's les chips de Tim McGraw, chanteur country plusieurs fois récompensé aux Grammy Awards. Lui, pas les chips donc!

Mais maintenant qu’on a profité de l’apéro, on passe au repas et ce soir c’est pasta en mode Jamey Jasta. On vous entend déjà dire, «Jamey qui?» Pas de panique, on est là pour vous introduire un paquet de pasta - pas faire un ouvrage sur l'histoire de la musique, et là c’est de celui de ce gars du groupe de metalcore Hatebreed qu'il s'agit.

Le choix parmi les sauces est multiple, et on a nos petites préférées, dont la «Mom’s Sauce» d’Eminem que vous pouvez trouver ici, mais surtout toute la ligne de Mister Bon Jovi qui se décline en plusieurs Bongiovi pour tous les goûts. Et ne venez pas dire qu'il «give sauce a bad name».

Pour ceux qui aiment, il serait possible de parsemer ces pâtes de cheddar d’Alex James du groupe Blur, qui se passionne pour le fromage au moins autant que pour la basse, et on se marre en apprenant qu’il a appelé son Bleu, «Blue Monday».

Et si ça manque encore de piquant à votre goût, n’hésitez pas à foutre quelques gouttes de «Have Mercy Hot Pepper Sauce» de ZZ-Top. Parce qu'il n'y a pas que les Spice Girls dans la vie, y'a Billy Gibbons, aussi.

Évidemment, pas de pâtes sans un «bon» verre de rouge. Oui on a mis des guillemets parce qu’après avoir goûté le «19 crimes» rouge de Snoop Dogg, on était aussi dégoûté qu’après avoir trop fumé, c’est pourquoi on s’orienterait plutôt vers un petit LVE de John Legend, parce que même si on ne l’a pas goûté, on imagine que son vin comme un de ses concerts: ça commence pépère, puis chaque note ajoute une note magique.

Difficile de parler de vin sans faire un clin d'œil à la France. Alors, on choisit un «Suivi des fées» de Francis Cabrel qui bosse au Domaine du Boiron à Agen avec son frère. Alors oui, ça groove dans les caves, mais faut pas rêver, Francis ne fera pas de sessions acoustiques entre deux fûts chez vous.

On passe déjà au dessert, et nuls ne sauraient résister à une boule de «Cherry Garcia» de chez Ben & Jerry’s et qui porte le nom de la légende du Grateful Dead. Sur cette glace, impossible de ne pas dispenser un gros pschitt de «Whipshots», la crème fouettée de Cardi B.

OK, en fait c’est alcoolisé et c’est plus pour les cocktails et autres chocolats chauds, mais on ne voit pas pourquoi on ne pourrait pas en mettre partout, parce qu'on sait que Cardi B met du piquant partout. PARTOUT.

Et pour finir ce «délicieux» repas, quoi de mieux qu’un shot de Blackened, le whisky de Metallica ou encore de rhum de Motörhead, afin de faire honneur à feu Lemmy. Parce que si ça ne finit pas en feu d'artifice et avec la promesse d'une bonne gueule de bois, c'est que vous n'avez pas assez tapé du pied.

Voilà, il est déjà l’heure de fermer le rideau sur ce festin de stars! Gardez vos papilles et vos oreilles en alerte et ne buvez pas trop, ce n’est pas bien, tout ça tout ça, mais apparemment ce ne sont pas les musicos qui vous le diront.